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Réunion du 7 JUILLET

 

Les paroles ont été volontairement anonymisées, elles sont retranscrites d’après des prises de note.

 

Présents : Henri Touati, Lucie Duriez, Cindy Drogue, Bertrand Petit, Thierry Mennessier, Jean Caune, Alexandre Lamotte, Marime Bouillon, Katy Feinstein, François Deck, Pascale Chaumet, Elise Allirand, Laurence Remy, Isabelle Oed, Catherine Silvent, Ferhat Bahija, Alain Manac’h,

 

1.    Introduction

 

C’est la troisième réunion d’un groupe appelé Culture, dont l’ambition avec un certains nombres de partenaires (de mettre en commun des perspectives pour repenser le modèle culturel sur lequel on fonctionne depuis 40 ans. Pour ce faire on a procédé de façon assez pragmatique : 5 personnes ont lancé un appel le 18 juin. Appel restreint auprès des réseaux des cinq personnes que nous pensions être intéressés par cette démarche. Nous n’avions pas la prétention d’exhaustivité. Il s’agissait d’un appel à des personnes qui pourraient partager notre questionnement.

Le 18 juin une quarantaine de personnes ont dit leurs attentes et leur intérêt Ã  participer à une réflexion collective et à se positionner sur des réflexions de fonds et des propositions que nous pourrions faire. Dans cette étape là, la municipalité n’a pas été invitée.

Reprécise ce qui s’est dit la fois dernière  (le 30 juin) un compte rendu a votre disposition (sur les deux réunions) sera envoyé. En attendant quelques phrases clés, qui ont été prononcées.

 

-     Un modèle à bout de souffle

Une fois qu’on a dit qu’il y avait un certain consensus pour repenser le cadre. On est sur un modèle à bout de souffle, mais ces éléments là nécessitent une réflexion de fond sur les concepts qui ont changé depuis 40 ans.

 

-     S’installer dans le temps

Ce qui nous est apparu à la première réunion c’est que la démarche devait s’installer dans la durée et dans le temps. Notre objectif est de démarrer en octobre une démarche qui doit certainement s’étaler sur l’année… Trois quatre temps forts dans l’année alimentés par des questionnements et des rencontres.

 

-     Ouvrir à d’autres

Il est nécessaire que nous échappions à ce que nous sommes : aller chercher la parole des gens différents et nous laisser se faire interroger par ceux qui ne sont pas forcement dans le jeu de la culture.

 

-     La question de la méthode

Outre une déclaration d’intention généreuse, se pose ensuite la question du comment et de la méthode ? Comment rencontrer les gens ? Comment recueillir leur parole. Un mot clé prononcé : il faut aller sur le « terrain Â» ! Comment faire échange de pratiques culturelles, en tout cas ce qui est sur c’est qu’il faut partir d’exemples concrets et faire des allers retour avec ce qui se passe sur le terraine et des réflexion…

 

-     La question de l’aide publique

Cette question évoquée par tout le monde qu’il s’agisse de la gestion des structures : La Bobine, La Bifurk Espace 600 ne sont pas gérés de la même manière. Il ya de modes de gestion qui bénéficient ou pas de l’aide publique. Que fait l’aide publique ? Question non traitée.

 

-     Méthodologie

On a fait référence à une méthodologie (Peuple et Culture) avec entrainement mental congres de PEC. Par ailleurs les CEMEA font un congrès en août à Grenoble. Une première conférence publique d’Ewy Plenel et intervention de Jean Caune de faire une intervention avec Jean Michel Lucas. Ouverture possible à ceux qui souhaitent y participer.

 

 

 

 

2.    Présentation des Nouvelles personnes présentes :

 

  • Je viens grâce à P.,  actuellement stagiaire MC2, Master culture à Grenoble. A vécu 3 ans à Berlin et connu des modèles différents et très réjouissants. Elle revient en France avec l’idée de comparer les choses et de voir comment il est possible de modifier les choses en douceur.

  • Bibliothécaire retraitée, présidente des arts du récit, milité autour de la lecture et de la petite enfance. Elle vient car elle connait bien « toute la bande Â». Elle a du temps et est intéressée. Sur la démarche : « ne sais pas où on va mais je suis  d’accord pour y aller avec vous Â»

  • Direction espace 600 pas disponible, le texte l’a interpellé. Cela fait un moment qu’elle sent qu’il va falloir inventer quelque chose …  Elle évoque un déficit de pensée qui l’effraie … Évoque son besoin d’échanges d’analyses et de réflexions. Elle travaille à la Villeneuve de Grenoble. Et se déclare très interpellée par ce qui s’est passé en Janvier. «Il y a un mur que se construit et une absence de dialogue».

  • Coordinatrice du collectif « Villeneuve debout Â» sans prétention est venue pour comprendre un peu mieux l’enjeu du groupe et peut-être y participer.

  • Directrice de la maison de l’image, a été informée par Laetitia, Elle est intéressée de voir ce qui se dit dans ce groupe et de voir comment on peut y participer.

  • Comédienne et écrivaine au sein d’une structure de théâtre et d’action culturelle donc ouverte. Se propose pour réfléchir sur ce sujet, elle vient pour voir ce qu’on peut y prendre.

  • La question du déficit de pensée raisonne mais il est bien de parler entre nous. Il ne va pas de soi que la culture soit orientée vers le changement et qu’elle soit le faire de pratiques de collaboration

  • Comédienne ne travaille plus beaucoup à Grenoble participe très rarement à ce genre de réunions Les interprètes sont peut être rarement invités.

  • Où sont les comédiens ? La dates, on pédale dans les difficultés on est a saturation et c’est difficile de nous impliquer dans un débat qui prend du temps. Mais leur présence est aussi importante. Il faut sans doute aller à leur rencontre.

 

 

3.    Vérifier si ce qui a été dit est conforme

 

  • La restitution  est fidele et en sortant de la réunion du 30 juin j’avais parlé des autres, se confondre à l’autre… et puis « l’autre Â» est devenu le terrain… on est dans une notion un peu militaire.

  • Lorsque le terrain a été évoqué c’était plus sociologique que militaire… Il s’agit en fait d’essayer de voir où il y a des lieux où il y a de la pratique artistique et culturelle.

  • Pour compléter cette impression, il me semble que les besoins des personnes étaient ceux des personnes en fonction de leur position. Certaines ont besoin d’aller sur le terrain, d’autres ont besoin de distance. Ce sont des demandes complémentaires et qui doivent pouvoir s’organiser.

  • Est intervenue dans la première réunion. Elle est éducatrice avec des jeunes (au codase). Elle signale que le travail qui est conduit est un travail culturel mais non reconnu.

  • Il y a des pratiques (par exemple A. sur la Villeneuve etc.). Tous ces gens ont des modes de pratiques culturelles intéressantes reconnues ou non. Peut-être que notre initiative peut servir à mise en relation ces pratiques là, pour leur donner des résonances et de la reconnaissance.

  • Fait un rappel à l’ordre du jour… Qu’on sache l’objet de la réunion. Il est très important pour elle de venir le 10 septembre(*) avec de la matière.

  • On se situe dans la suite de la réunion du 30, il n’y a pas d’ordre car on souhaite se mettre dans la construction d’un collectif élargi à d’autres (que le groupe des cinq) pour déjà maintenant proposer  des dispositifs de travail etc. Qui permettent la discussion mais aussi de pouvoir avancer sur des propositions de manière à pouvoir accumuler des éléments pour le 10 septembre (*) qui avancerait sur la méthode.  Il ne faut pas se polariser  sur les deux journée annoncées (24 et 25 octobre) il y aura de toute évidence plus de temps et ce sera peut être plus tard. Arriver le 10 sept (*) Ã  être polarisé sur des objectifs de ce travail.

  • Vers quoi va cette démarche collective ?

  • Autant avancer avec un « désordre du jour Â» plutôt qu’avec un « ordre du jour Â». Si on n’a pas de plaisir à être là parce que chacun est un autre pour soi. Et la capacité à se découvrir un autre est peut être la meilleure.

  • La question est autour de l’idée qu’il ya des gens qui font des choses, qu’il y a besoin d’en parler entre nous et à l’extérieur, et que la question qui apparait le plus fortement c’est une sorte de « destruction Â» (terme un peu violent) mais il faut admettre qu’on ne sait plus pourquoi on fait ce qu’on fait ! Pourquoi on continue à se battre. La question est d’abord « comment on construit une relation à l’autre?». Est-ce que l’idée ne serait pas que ces journées puissent faire un état des lieux, et que d’ici là on puisse aller au contact? Il y a les M.J.C., les Centre Sociaux, Centres Culturels, et voir de quelle manière on généralise un mode de relation qui permette un peu partout de permettre à des gens de débattre et de créer les discussions. On pourrait imaginer une dynamique sur deux ans, sur un an, qui se pose la question de son rapport à l’autre. « de quelle manière tout cela se construit et se discute? ». Comment va t-on parler à d’autres gens pour qu’ils viennent, quelle méthodologie pour qu’il se pense des choses de manière collective?

  • Comment on fait des vagues, comment on trouve l’énergie le désir et la puissance pour faire des vagues? 

  • Je ne parlerai pas de vague mais de cercles et en même temps j’entends qu’il y a d’autres formes à inventer. Des formes différentes ; La diversité culturelle n’est pas transversale, dans la culture et à d’autres formes. On est à un moment ou on est tous en train de pédaler pour faire en sorte que nos activités continuent et c’est peut être irrémédiable mais on est obligé d’inventer de nouvelles formes. La diversité culturelle n’est pas reconnue comme une discipline. Et vu qu’on n’a pas le choix… La fatalité et la diversité comme nécessité. Il faudrait qu’on puisse l’aborder comme une question qui amené de la richesse.

  • Et si on partait de la question du lien social ?

  • J’aurai très envie qu’on puisse aussi tester des outils, de vrais outils de mise en débat… on a besoin pour entrer en débat, en discussion, d’essayer de sortir des formes techniques habituelles. À la fois au niveau de la forme et sur les questions de fonds. Le partage des expériences est essentiel. Pourquoi a t-on envie que ces démarches soient rapportées etc…? Quelles sont les  difficultés ce qui nous apparaissent essentielles? Besoin de planter des jalons…

  • Est-ce que tu veux dire que nous pourrions avoir des témoignages des expériences des témoignages? Cherchons comment créer un outil pour appréhender cette expérience…

  • La question n’est pas de parler de son travail mais de parler avec les gens qui ont vécu des choses importantes. Dans ma propre vie j’ai croisé untel etc… Exemple comment ce travail a traversé leur propre vie et comment cela a obligé Ã â€¦ La culture dans ce cas est plus qu’un enjeu mais devient un jeu. Exemple de la « popote du peuple Â» qui décide un projet culturel (à partir du conte) mais avant de le mettre en Å“uvre, ils vont se confronter à la pratique comprise dans ce projet, en l’occurrence il s’agissait du conteur. Les gens parlent de ce qui les traverse. C’est cette vague là qui invente de nouvelles formes.

  • Ce qu’a été dit de Berlin… ce serait bien qu’on ait un compte rendu de ce que vous avez vécu. Qu’on cherche ailleurs quelle pratique peut se faire.

  • La question des échéances, et des possibilités de temps. Évoque le chantier des cultures avec Yves Mathieu. Du point de vue que j’en ai le changement de municipalité donne des perspectives de changements. Est-ce qu’il n’y a pas la possibilité de rejoindre ce dispositif?

  • Le processus de création de notre démarche suite à l’engagement pour quelques uns dans la campagne municipale sur la question de la culture préconisant un vrai chantier qui permettent en prenant le temps, de définir un nouvelle politique culturelle pour la ville voire la métropole. Le  chantier est resté en jachère et s’est révélé très vite décevant. Il ne s’agit pas de se positionner contre la ville mais d’une démarche autonome d’acteurs de la Culture… Artiste, institution et personnes concernées ensemble.

  • Le constat que tout le monde fait, c’est qu’on ressent tous qu’on est au bout d’un système dans la culture, qu’on soit des citoyens qu’ont soit des politiques c’est la même chose. Mais il y a plusieurs temps. Le politique dit « il n’y a plus d’argent Â», donc,  est ce que le politique est capable d’imaginer quand il n’y a plus d’argent? La position de force c’est d’être citoyen car on a la liberté d’inventer.

  • Il faut une sorte objectivité scientifique. Suite à la réunion au conservatoire le 1° avril… J’ai communiqué un courriel à la ville en lui demandant à quel endroit se passait la 3° consultation. Date reportée à cause de la surcharge de travail lié à l’incendie du théâtre Prémol.

  • Pour information, le troisième chantier numéro 3 aurait lieu le 9 septembre (**). Sinon pour ce qui est du chantier numéro 2, j’ai tout enregistré et je ferais parvenir cet enregistrement.

  • La question du sens doit être réaffirmée de manière forte … il y aura des suites. Remettre du sens sur la culture. A quoi ça sert ? Pourquoi on le fait ?

  • Je fais partie des gens qui n’ont pas supporté la journée du 8 décembre. La question de la responsabilité des politiques est importante car ils étaient présents.  Il y a d’autres méthodes pour passer à la construction à la co-construction, mais il faut du temps. On est dans une méthode qui est démagogique et bidon car on ne sait pas qui porte la responsabilité. Il ya une réflexion à mener sur la co-construction en terme de méthode.

  • Il me semble que l'on est trop dans la discussion sur ce qu’engage la mairie. La nécessite de se mettre ensemble pour réfléchir avancer différemment me semble juste. J’espère qu’on va pouvoir nourrir. Si on veut impulser des choses, il y a une nécessité de se mobiliser et que la discussion ne soit pas que grenoblo-grenobloise.

  • De toute manière on va se confronter à ces questions de méthodes et de procédure. On ne va pas faire le procès de ce qui n’a pas eu lieu. Ce qu’on cherche à faire c’est justement ce qui na pas été fait.

  • Un thème important est apparu celui de la diversité culturelle, et quand on parle du lien social cela veut dire acceptons la diversité et comment on fait lien. Ici même. Comment on n’a pas fait attention toutes ces années sans s’en rendre compte… Il faut entendre les gens qui sont dans des quartiers où se vit au quotidien cette diversité. 

  • Je reviens sur Charlie, comment on a fait pour que des enfants ne se sentent pas, plus dans l’histoire de notre pays.

  • L’accompagnement de plusieurs jeunes filles sur la question du portrait et de l’auto-portrait, le travail sur la question qui je suis comment je suis dans mon environnement…? Avec le projet de partir à Oxford parce que elles vont interroger les gens là-bas sur la question de la laïcité en Angleterre car c’est mieux que ce qui se passe ne France.

  • J'entends parler d’Angleterre d’Allemagne etc… Est-ce que ce ne serait pas intéressant de recueillir des choses qui se font hors de la France?  Je ne connais  pas l’expérience berlinoise mais j’ai vu un documentaire sur Mannheim. Un peu comme Pina  Bausch un travail dans les quartiers et une interrogation des jeunes gens qui sont là, sur leurs propres identités.

  • Je voulais revenir à l’idée de la vague. Idée intéressante parce qu’on se bouscule les uns et les autres et on ne fait pas semblant d’être dans une relation égalitaire mais notre ambition serait de se mettre dans une relation horizontale de construire et déconstruire. Quand j’entends les uns et les autres parler car on parle de l’autre comme un objet de la culture. On est soi-même discriminent dans la manière de regarder les gens. Diversité et multi culturalité… Si jamais on est dans les interstices quand on a fini de faire jouer les habitants… ils ne deviennent jamais des amateurs etc… On va les animer pour donner à voir qu’on fait du lien social. Ce n’est pas du multiculturel c’est de l’interculturel. En rencontrant l’autre, je laisse une part de moi. Je me mouille et je prends un risque non négligeable. Et quand on travail on s’expose. J’ai l’impression dans le milieu de la culture qu’on ne prend pas ce risque. Sur d’autres sujets également. Quand on a des espaces on prend ce risque. J’ai envie de comprendre comment ça se passe… mais plutôt je vais aller faire et voir ce qui restera de moi dans la confrontation. Les gens ce n’est pas qu’ils n’ont pas envie, c’est que c’est pour eux une manière de résister. On ne va pas les rencontrer on ne va pas les reconnaitre. Il y a d’autres projets de société qui sont en train de prendre place. Ce que les autres filles on gagné il faut le garder, aujourd’hui je dois être sur un projet  de vigilance que doit être émancipateur. Et je pense que la culture a un rôle incommensurable sur ces questions là. La confrontation qui produit de la culture.

  • J'insiste sur l’idée de « produire de la culture Â» qui est certainement une piste nouvelle proposée notamment par la question des droits culturels en parlant de « participer à la culture Â» ce qui n’est pas la même chose que d’accéder à…

  • À Berlin une situation dans laquelle l’objectif de mixité sociale n’existe pas et pourtant c’est le plus grand endroit où il y avait de la mixité.

 

 

Une date a été prise : le 10 septembre(*)

 

Il va y avoir un compte rendu des deux réunions du 30 et Du 7 juillet, on fait deux trois petits groupes on échange par courriel pour voir comment ces thématiques permettent  d’avancer. Pour que d’ici le 10 septembre(*) il se passe des choses sur la base du CR qu’on ai identifié ce qui peut permettre de construire quelque chose. Même si ces groupes se recoupent.

On a évoqué le blog, le site…  :

On note que le CR doit ouvrir des portes… Ouvrir des armoires… et que les gens puissent répondre : moi ça m’intéresse.  Pour nourrir des expériences etc… Idée de créer un lieu de ressource. C’est en chantier (site internet). Les Cinq se chargent de travailler avec les comptes rendus pour dégager des thèmes.

  • S’il y a une personne qui veut travailler elle le signale ils s’organisent.

  • En posant la question des besoins, se propose de mettre en place des outils qui permettent cette communication cette porosité. Il fait une dernière remarque en mettant en garde sur la forme que les échanges peuvent prendre. Il a toujours du mal à faire venir des gens de son âge, qui ne se sentent pas bien dans ces réunions, où des formes de dominations se recréent. Il faut vraiment réfléchir sur tout cela. Reprenons des méthodes qui existent. Réfléchir à la durée, et à ce qu’on va faire  après.

  • On a énoncé comme une évidence que la culture était le lien social et je ne suis pas sûre que ce soit l’objectif premier.

  • Ce que j’entends m’aide à nourrir les questions que se pose notre équipe (20 personnes) depuis longtemps c’est le mot « alternative Â». Moi j’entends ce soir que c’est la catastrophe etc.. Mais il s’est crée en France un réseau alternatif qui n’est pas dans les réseaux connus et si on veut se remettre en cause dans ce rapport de pouvoir créer depuis plus de 30 ans il faut regarder au delà du bout de son nez. Mon équipe a la chance de travailler à l’étranger depuis longtemps. L’Afrique ne se demande pas comment faire culture et quand on doit créer des événements  etc…

  • Je pensais qu’il  doit y avoir des rapprochements à faire vers d’autres (Franck Lepage par exemple)…

  • Quels sont les thèmes qu’on voudrait aborder en croisement ?  Moi ce qui m’intéresse c’est la question des pratiques artistiques d’amateurs. Travailler sur le lien entre les pratiques et les spectateurs, Les freins entre les liens entre la pratique et les spectateurs. Les questions de la mixité sociale dans ce travail m’intéressent. Il faudrait récolter des films des initiatives pour se faire un vivier des choses à partager etc…

 

(*) Initialement prévue le 8 septembre.

(**) La date a changé, la réunion du chantier des Cultures aura lieu le 15/09 à la Belle électrique.

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